Comme le montre un nouveau rapport d’IFC, intitulé Digital Opportunities in African Businesses (« Opportunités du numérique dans les entreprises africaines »), les start-up numériques du continent forment un écosystème encore embryonnaire mais qui est l’un des plus dynamiques au monde.

Améliorer l'accessibilité de financements en monnaie nationale est une priorité pour IFC en Afrique afin de protéger les entreprises des fluctuations du marché des changes et créer des opportunités d'investissement.

L'écosystème des start-up numériques africaines est en plein essor, avec l'une des croissances les plus rapides au monde. Les jeunes pousses africaines qui adoptent des technologies de rupture réussissent généralement mieux que les autres et obtiennent davantage de financements. 

Dans ce rapport de l'IFC, découvrez dans quelle mesure les entreprises africaines utilisent-elles la technologie numérique, à quelles fins, et comment peut-on les encourager à l'exploiter davantage.

Quand Korka Diaw a commencé à cultiver du riz, elle n’aurait jamais pensé devenir un porte-voix pour les agricultrices du Sénégal. Trente ans plus tard, elle est à la tête d'une organisation qui compte 16 000 adhérentes et participe à des débats au niveau national sur l’autonomisation économique des femmes. Voici ce qu’elle a appris au fil de ces années.

Au Sénégal, des femmes réinventent les méthodes de riziculture afin de faire face au changement climatique et d'assurer la sécurité alimentaire. Devenues dirigeantes d'entreprises et militantes, elles se réinventent elles-mêmes aussi.

La Société Financière Internationale (IFC) annonce investir 15 millions d'euros dans le fonds Joliba Fund I, basé à Abidjan, qui serviront à favoriser la croissance des petites et moyennes entreprises (PME) en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale.

Activa Cameroun est l’un des principaux assureurs du pays : 2ème dans la branche non-vie et 3ème dans la branche vie. En novembre 2019, elle a lancé le programme d’assurance Activ’Lady adapté aux femmes camerounaises, une première au Cameroun, où la quasi-totalité de la population n’est pas assurée. 

Afin de soutenir l'activité économique et la création d'emplois dans dix pays d'Afrique subsaharienne, IFC a annoncé investir dans un mécanisme de partage des risques en faveur du groupe Bank of Africa.

Ce diagnostic du secteur privé au Bénin vise à identifier des solutions à court et à moyen terme pour éliminer les goulets d’étranglement au développement du secteur privé et à la mobilisation des investissements, grâce à une analyse économique et stratégique approfondie.